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4 commentaires

Jour de campagne

De Buthiers à Roncevaux en 8, 10 + 5 km

C’est à l’ile de Loisirs de Buthiers, qu’en ce dimanche électoral, 18 Joyeux Pataugas se sont donnés rendez-vous pour partir en campagne.

La circonscription visée, la « conurbation » de Buthiers Roncevaux,  une des  urnes du Parc Régional du Gâtinais.  Enthousiasme, volonté et combativité sont au rendez-vous. Le programme à défendre sur les quelques 10 km de la matinée n’entame aucunement la joyeuseté des militants.  Le rang est maintenu, si quelque fois il s’allonge,  c’est pour faire face aux diverses opinions ici et là,  comme il sait se resserrer pour faire bloc.

Premier regroupement devant l’église de Buthiers, le ton est donné… nous serons conquérants !!! Première anicroche : une barrière tente de freiner notre prospection, le doute est vite levé, sans le moindre accroc… nous franchissons l’hostilité et progressons dans la ligne droite de notre programme.

Nous prenons actes des revendications, les terres agricoles, le monde rural est au cœur de notre tracé. Le gentil coquelicot, nous acclame et se dresse sur notre passage, sans pour autant cueillir du romarin. Un petite délibération nait autour d’une certain “soutien”; à l’unanimité le pois chiche est validé !!!  Merci à Claudette qui n’hésite pas à sortir l’artillerie lourde pour nous convaincre à son ralliement. Au passage niveau de la Vallée Nissard, une petite commémoration est organisée en hommage de la ligne Filay – Bourron. Roncevaux est légèrement contourné et c’est par la Butte Jaune que nous regagnons notre QG de campagne, au travers d’une foule de blocs de grès.

Anne Marie et Danielle, « fautives » sur la campagne de mercredi dernier, nous offrent quelques gourmandises et spiritueux,  merci à elles. Vient le temps de se restaurer…  débat et engagement s’animent aux diverses tablées.

Seuls 6 militants sont de la prospection de l’après midi pour une conquête totale du fief. Le programme est bien calé, sont démarchés les Marais de Malesherbes, le Bois de de la Fontaine St Aignan et le petite commune d’Auxy…

Bilan : une seule consigne de vote , au prochain scrutin, votez Joyeux Pataugas  !!!

Le parti Joyeux Pataugas

… et prochainement…

 

Commentaires

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  1. Dom dit :

    ” Les biens faits de la rando: La culture, qui alimente le petit pois de notre (la mienne en particulier…) pauvre petite tête…”
    Dom.

    Le pois chiche, une culture écologique source de protéines
    Le pois chiche regorge de trésors. Par exemple, son jus de cuisson que l‘on trouve dans les boîtes de conserves est riche en albumine, cette protéine des blancs d’œufs qui fait tenir les blancs en neige. On peut monter ce jus en neige pour réaliser une mousse au chocolat vegan tout à fait réussie sans utiliser d’œufs !
    Plus habituellement, on connaît le pois chiche dans le couscous, mais au fait, d’où vient-il ?

    Portrait du pois chiche, Cicer arietinum
    Domestiqué il y a environ 7000 ans, le pois chiche nous vient de Turquie et du Proche-Orient. Il appartient à la famille botanique des légumineuses comme la lentille ou le haricot. Son nom latin, Cicer (pois) arietinum (de aries : bélier) caractérise bien l’aspect physique de ses grains avec leurs deux bosses rappelant (de loin) les cornes de ce mammifère.

    Comme il préfère les climats méditerranéens, il s’est surtout développé vers le sud de l’Europe, le nord de l’Afrique, l’Australie, l’Asie et surtout l’Inde qui récolte plus des 2/3 de la production mondiale. Mais le Canada en cultive également de grandes surfaces. En France, cette culture est peu développée (8600 hectares) mais ses avantages agronomiques et surtout l’évolution des goûts et des modes alimentaires lui présagent un plus grand avenir. Il est champion de la richesse en protéines (17 à 23 %).

    Il existe plus de 20 000 variétés et cultivars de pois chiche dans le monde ! De belles ressources parmi lesquelles trouver son bonheur pour sélectionner les variétés de demain. Deux types de pois chiches sont cultivés : Kabuli, le plus répandu en France, à grosses graines beiges à blanches, et Dési, majoritaire en Inde, à petites graines de beige à marron en passant par le vert.

    Source de protéines végétales
    Dans nos régions le pois chiche n’est quasiment consommé qu’en l’état de graines brutes ou mises en conserves, récoltées sèches à maturité. En Inde au contraire, le pois chiche fait partie des principaux légumes et il est cuisiné sous de nombreuses formes : grains, farine, plats élaborés comme le houmous ou les falafels.

    « En Europe, avec les changements d’alimentation vers des régimes sans gluten ou végétariens, il se crée une dymanique autour des protéines végétales. Le pois chiche est une belle réponse à des préoccupations sociétales » explique Hanan Gasmi, responsable marketing de Top Semence, seule société à sélectionner cette espèce en France.

    Kabuli ou Dési ? « La composition biochimique des grains est similaire entre les deux types » précise Charles Lemaire, sélectionneur : « ils ne diffèrent que par leur couleur, la grosseur des grains, l’aspect de leur peau. Les préférences selon les régions du monde relèvent des habitudes de consommation.»

    Culture écologique par excellence
    Le pois chiche est peu gourmand en eau. Il se contente de sols séchants et permet de mettre en valeur des terres difficiles. De plus, il n’a pas besoin d’apports d’azote puisque, comme toutes les légumineuses, il fixe l’azote de l’air dans ses nodosités, sortes de petites boules qui se forment à la surface des racines grâce aux bactéries Rhizobium ciceri. De ce fait, il laisse un peu d’azote après lui et les cultures suivantes, souvent des céréales, se plaisent bien et permettent quelques économies d’apports d’engrais azoté à l’agriculteur.

    Son cycle est court : semé en mars, il se récolte fin juillet-début août. Il sécrète de l’acide malique qui déplaît aux insectes et le protège naturellement de la plupart d’entre eux – mais pas de tous – limitant ainsi les applications de produits phytosanitaires.

  2. Fatiha dit :

    Merci Dom… pour avoir augmenté le pois( poids) de mes neurones ( sourire).
    Au 11 juillet les joyeux Pataugas
    Bye bye

  3. Jocelyne L. dit :

    Et les derniers militants de l’après-midi ont finalisé cette délicieuse journée par un rafraichissement au “Canard”
    Merci Pierre pour cette très belle randonnée

  4. Dominique dit :

    Et il en remet une couche le bougre…
    Buthiers — Wikipédia
    https://fr.wikipedia.org › wiki › Buthiers
    La Buthiers est une rivière française de la Haute-Saône, et un sous-affluent du Rhône par l’Ognon (c’est pas moi qui l’a dit…), et la Saône. Toponyme[modifier | modifier …

    Buthier — Wikipédia
    https://fr.wikipedia.org › wiki › Buthier
    Le Buthier est une rivière italienne, affluent de la Doire Baltée, et descend du Valpelline. Il est considéré comme la seconde rivière valdôtaine après la Doire …

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